Le Jouvencel par Jean de Bueil: suivi du commentaire de Guillaume Tringant, Volume 2Renouard, H. Laurens, successeur, 1889 - Chivalry |
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Common terms and phrases
Amboise Anjou aprez assavoir audit aultres avecques avoient avoit bailler bataille Béraud III besongne Beuil Bourbon cappitaine de Crathor cclxxij ccxviij ceste ceulx Chamblay chancelier chascun chastel chevalier chière chose clxiij clxxvj combatre compaignie comte comte de Sancerre congié conte de Parvanchières Crathor cxcvj d'Auvergne Daillon dame Dauphin demoura destroussa devers le Roy Dieu dist duc Baudouyn duc d'Ath dudit ennemiz esté estoient estoit estre eulx eust faictes fault filz fist gaigner gens d'armes gneur grace grans grant guerre Guillaume homme Item j'ay Jacques de Bueil Jean de Bueil Jouvencel Jupilles ladicte logeiz maistre Mareschal mieulx Mirebeau mondit monseigneur moult n'estoit oultre parle parolles payz peult peust pièce XVII plaist povoir present qu'ilz quoy Regent respondist respondit Robert Dauphin roy Amydas Saint-Calais Sancerre scet seigneur de Bueil seigneur de Savoye seroit sire de Bueil tousjours traict veult vray
Popular passages
Page 386 - En tesmoing de ce nous avons signé ces presentes de nostre main et faict sceller de nos armes le premier jour de may mil cinq cens quarente sept.
Page 386 - ... puist estre, mais le garderons, soustendrons et deffendrons envers et contre tous et le entretendrons et tendrons en la bienveillance de mondit seigneur et en la nostre, et ne souffrerons en aucune manière que sadite pension ordennée ne ledit grenier lui soient cassez ne ostez sadite vie durant. En tesmoing de ce nous avons signé ces presentes de nostre main et fait sceller de nostre scel de secret, le treiziesme jour de juillet l'an de grace mil quatre cens quarante '. Lois. XIX. 4 août...
Page 295 - Et que ce soit ferme chose et estable à tousjours, nous avons fait mettre nostre seel à ces présentes, sauf en autres choses nostre droit et l'autruy en toutes.
Page 98 - Premierement, ceulx qui le font vueillent oster le bien d'autruy, c'est assavoir leur honneur, pour se attribuer une vaine gloire qui est de petite valleur; et, en ce faisant, il ne fait service à nul, il despent son argent, il expose son corps pour tollir la vie ou l'onneur à cellui à qui il a à besongnier, qui lui vient à petit de profit ; tant qu'il est occupé ad ce faire, il laisse à exploicter la guerre, le service de son Roy et de la chose publique ; et nul ne doit exposer son corps,...
Page 44 - se pevent secourir ; s'il n'ya que une bastille seulle, « elle est mieulx assiégée que n'est la ville devant qui « elle est faicte ; car la cité ou ville est meilleure de « soy mesme que n'est la bastille et de plus grant « puissance d'argent, d'hommes, de manouvriers et
Page 130 - Monseigneur, je me recommande à votre bonne grâce tant et si très humblement comme je puis. Et vous plaise savoir que...
Page 240 - ... par le flanc et ruoit et faisoit perdre la lance à son maistre. Les hommes d'armes à cheval ne povoient donner dedans les archiers, pour ce qu'ilz ne povoient passer oultre pour celle barrière, et, se gens de cheval donnent dedans gens de pié et ilz n'ont point d'issue, ilz font leur dommaige '. Et, pour ce, est-ce forte chose que gens de cheval se puissent bien aider en rue ne en chemin estroit et doibvent querir le large à leur povoir.
Page 21 - En cela vient une délectacion telle que, qui ne l'a essaiée, il n'est homme qui sceust dire quel bien c'est. Pensez-vous que homme qui face cela craingne la mort? Nennil, car il est tant .reconforté, il est si avi qu'il ne scet où il est. Vraiment il n'a paour de rien.
Page 393 - Sancerre, nous a aujourd'uy fait les foy et hommaige que tenu- nous estoit de faire, à cause...