5. section, suite De la révolution françaiseAlexis Eymery, 1820 - Diamond Necklace Affair, France, 1785 |
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Common terms and phrases
10 août accusé agens assassins assemblée assignats Attentats auroient auroit avoient avoit Barbaroux Barrère Bourbons brigands citoyens Cléry comité condamné conspiration constitution Convention nationale conventionnels cordeliers coupable Couthon crime Danton déclare décret défense défenseurs demande dénoncer départemens députés despotisme devoir dictature discussion DUHEM enfans enfin ennemis étoient étoit eût factieux factions falloit forfaits Gironde Girondins gouvernement Guadet hommes jacobins jour jugement justice l'accusé l'ajournement l'appel l'assemblée législative l'Europe l'humanité Lanjuinais Legendre liberté Louis Capet Louis XVI Mailhe majorité Malesherbes malheureux Marat membres ment Merlin monarque montagnards Montagne motion n'avoient n'avoit n'étoit naires nation pable patriotes peine de mort Pétion peuple pourroit pouvoient pouvoir pré président prêtres procès prononcer publique question récuser religion représentans république révolution révolutionnaire Robespierre royale royauté s'étoient salut public sang scélérats séance sentimens sera seroit seul sûreté Tallien THURIOT tion tribunal tribune Tronchet trône trouvoient tyran vention Vergniaud victimes voix vote vouloient vouloit ככ
Popular passages
Page 310 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Page 254 - Dieu; je demande pour cela de pouvoir voir librement la personne que j'indiquerai aux commissaires de la Commune, et que cette personne soit à l'abri de toute crainte et de toute inquiétude pour cet acte de charité qu'elle remplira auprès de moi. « Je demande d'être délivré de la surveillance perpétuelle que le conseil général a établie depuis quelques jours.
Page 263 - ... rappelez-lui, dites-lui bien toutes les peines que j'éprouve des malheurs qu'il ressent : un jour peut-être il pourra récompenser votre zèle. — Ah ! mon maître, ah ! mon roi, si le dévouement le plus absolu, si mon zèle et mes soins ont pu vous être agréables, la seule récompense que je désire de votre majesté, c'est de recevoir votre bénédiction : ne la refusez pas au dernier Français resté près de vous.
Page 151 - On vient de vous exposer mes moyens de défense, dit-il ; je ne les renouvellerai point. En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité.
Page 88 - ... des citoyens entre eux avec les rapports des nations à un ennemi qui conspire contre elles ; vous confondez encore la situation d'un peuple en révolution avec celle d'un peuple dont le gouvernement est affermi ; vous confondez une nation qui punit un fonctionnaire public en conservant la forme du gouvernement , et celle qui détruit le gouvernement lui-même ; nous rapportons à des idées qui nous sont familières un cas extraordinaire qui dépend de principes que nous n'avons jamais appliqués...
Page 253 - Je demande un délai de trois jours, pour pouvoir me préparer à paraître devant Dieu ; je demande pour cela de pouvoir voir librement la personne que j'indiquerai aux commissaires de la commune, et que cette personne soit à l'abri de toute crainte et de toute inquiétude pour cet acte de charité qu'elle remplira auprès de moi. "Je demande...
Page 208 - Je le pense. Daignez, citoyens, peser toutes ces considérations! C'est pour obtenir l'exécution de la loi que je les présente ; c'est en faveur de la justice et de l'humanité que je demande, aux termes de la loi, qu'il faille les deux tiers des suffrages.
Page 208 - Il ne s'agit pas ici de craindre ; vous ne devez craindre que de violer la justice et la raison. La première violation des principes fait toujours marcher de violation en violation. Je pourrais vous...
Page 264 - Vous remettrez ce cachet à mon fils, * * * cet anneau à la reine ; dites-lui bien que je la quitte avec peine. Ce petit paquet renferme des cheveux de toute ma famille : vous le lui remettrez aussi * * * Dites à la reine, à mes chers enfants, à ma sœur, que je leur avais promis de les voir ce matin, mais que j'ai voulu leur épargner la douleur d'une séparation si cruelle. Combien il m'en coûte de partir sans recevoir leurs derniers...
Page 258 - Prince , autrefois si grand et alors si malheureux , je ne fus plus maître de moi-même; mes larmes s'échappèrent malgré moi , et je tombai à ses pieds sans pouvoir lui faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur; cette vue l'attendrit mille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il ne répondit d'abord à mes larmes que par les siennes; mais bientôt reprenant son courage : « Pardonnez, me dit-il, monsieur, pardonnez à ce moment de faiblesse, si toutefois on peut le...