Les Lamentations de Matheolus et le Livre de leesce de Jehan Le Fèvre, de Resson: (poèmes français du XIVe siècle)

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É. Bouillon, 1892 - French poetry - 581 pages
 

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Popular passages

Page xiii - Le Livre de Matheolus Qui nous monstre sans varier Les biens et aussi les vertus Qui viennent pour soy marier. Et...
Page clxxxv - LA. VIEILLE, ou les Dernières Amours d'Ovide, poème français du xiv° siècle, traduit du latin de Richard de Fournival par Jean Lefevre, publié pour la première fois et précédé de recherches sur l'auteur du Vetula, par Hipp.
Page cxlix - Les cent pages publiées dans l'Histoire de la langue et de la littérature française de Petit de Julleville, en collaboration avec M.
Page 82 - Si me convient ainsi remaindre, Et semble que soye la maindre. » Or est il doncques nécessaire Que le mari li face faire Robes, et joyaulx aprester ; Car il n'oseroit contrester Pour ce que, s'il y avoit faulte, La tençon trouverait trop haulte.
Page cxxxvii - ... porro liberorum causa uxorem ducere, ut vel nomen nostrum non intereat vel habeamus senectutis praesidia et certis utamur heredibus, 65 stolidissimum est.
Page 34 - Car elles sont d'os et nous sommes Fais de terre en nostre personne: L'os plus haut que la terre sonne (II, 244-246; éd.
Page 211 - ... propinans ; nescia spineti florens rosa, nescia culpae gratia, fons expers limi, lux nubila pellens, spes miseris, medicina reis, tutela beatis ; proscriptis reditus, erranti semita, caecis, lumen, deiectis requies, pausatio fessis.
Page 126 - Qui plus grant. soif seuffre a la lèvre Que n'ot le riche homme en enfer; Car il ne scet ouvrer en fer, Mais en peaulx est toute sa cure. Pour vous a fait ceste escripture.
Page 276 - Chascun laisse son fouc * sans garde Et s'en vont, qui bien y regarde, Avec les roys, pompeusement, Pour vivre plus joyeusement. Les besongnes royaulx procurent. Les playes du peuple ne curent. . . On aimait jadis à vivre sous la juridiction des moines : maintenant, nul ne s'en soucie, tant ils sont durs. Ils ne résident plus, d'ailleurs, dans les monastères : on les voit aux plaids, aux marehés, par les rues, à la cour du roi, à celle [arehiépiscopale] de Reims, à celle de Rome.