La maison d'un artiste, Volume 1G. Charpentier, 1881 |
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albums amours Aquarelle Aquarelle sur trait artiste Augustin de Saint-Aubin Bistre sur trait blanc de gouache Boucher bras cabinet catalogue de tableaux Chardin Chine sur trait chose Clodion Cochin coiffure collection COMTE DE CAYLUS costume couleur COYPEL crayon noir croquis d'estampes Damery Dessin lavé Dessin sur papier EDMOND DE GONCOURT estampes études femme assise figures fille fleurs foukousas Fragonard Gabriel Gabriel de Saint-Aubin Gravé Gravelot graveur Greuze Guichardot homme j'ai Japon joli l'Académie l'encre de Chine lavé d'encre lavé de bistre Lavis à l'encre lettre livres Louis XV main maître Malbeste Moreau papier bleu papier jaunâtre papier jaune pastel paysage peintre petit petits pierre d'Italie pierre noire planche plomb porcelaines portrait premier plan profil rehaussé de blanc rehaussé de craie représentant robe rose rouge Saint-Aubin salon samedi sanguine sculpture sieur Signé tapisserie terres cuites tête tion titre toilette trait de plume Vanloo vente vert Watteau XVIIIe siècle
Popular passages
Page 354 - Ma tante se trouvait être, en ces années, une des quatre ou cinq personnes de Paris, énamourées de vieilleries, du beau des siècles passés, des verres de Venise, des ivoires sculptés, des meubles de marqueterie, des velours de Gênes, des points d'Alençon, des porcelaines de Saxe. Nous arrivions chez les marchands de curiosités, à l'heure, où se disposant à partir, pour aller dîner en quelque « tournebride
Page 292 - Catalogue raisonné d'une collection considérable de diverses curiosités en tous genres contenues dans les cabinets de feu M. Bonnier de la Mosson, bailly et capitaine des chasses de la Varenne des Thuilleries...
Page 23 - J'aurais aimé qu'un banquier, me laissant la bride sur le cou, me donnât plein pouvoir en un palais qui n'aurait eu que les quatre murs pour lui en imaginer la décoration et le mobilier avec ce que je trouverais, rassortirais, commanderais, avec ce que je découvrirais chez les marchands de vieux, les artistes industriels modernes ou dans ma cervelle.
Page 1 - Oui, cette passion devenue générale, ce plaisir solitaire, auquel se livre presque toute une nation, doit son développement au vide, à l'ennui du cœur, et aussi, il faut le reconnaître, à la tristesse des jours actuels, à l'incertitude des lendemains, à l'enfantement, les pieds devant, de la société nouvelle, à des soucis et à des préoccupations qui poussent, comme à la veille d'un déluge, les désirs et les envies à se donner la jouissance immédiate de tout ce qui les charme, les...
Page 345 - Que je plains les lettrés qui ne sont pas sensibles à la séduction d'une reliure, dit Edmond, et dont l'œil n'est pas amusé par la bijouterie d'une dorure sur un maroquin et qui n'éprouvent pas, en les repos paresseux de l'esprit, une certaine délectation physique à toucher de leurs doigts, à palper, à manier une de ces peaux du Levant, si moelleusement assouplies ! La reliure française a été de tout temps un art, dont les adeptes ont fait preuve d'une adresse charmante, et c'est aujourd'hui...
Page 1 - Pour notre génération, la bricabracomanie n'est qu'un bouche-trou de la femme qui ne possède plus l'imagination de l'homme, et j'ai fait à mon égard cette remarque, que, lorsque par hasard mon cœur s'est trouvé occupé, l'objet d'art ne m'était de rien. Oui, cette passion devenue générale, ce plaisir solitaire, auquel se livre presque toute une nation, doit son développement au vide, à l'ennui du cœur...
Page 328 - ... annoncer son ouvrage à l'impératrice de Russie, à la reine de Suède, à toutes les princesses de l'Europe qui se piquent de goût^ et qui ont su approfondir le grand art de la toilette. Cet ouvrage fait un volume in-4°, intitulé : Livre...
Page 354 - ... et chaussées de ces petits souliers de prunelle dont on voit les rubans se croiser autour des chevilles dans les dessins de Gavarni de La Mode:, descendaient la montée, se dirigeant vers Paris. Un charmant trio que la réunion de ces trois femmes : ma tante avec sa figure brune, pleine d'une beauté intelligente et spirituelle ; sa belle-sœur, une créole blonde, avec ses yeux d'azur, sa peau blanchement rosée et la paresse molle de sa taille ; ma mère avec sa douce figure et son petit pied....