Le cas de m. Aulard

Front Cover
V. Barbou, 1914 - 76 pages

From inside the book

Selected pages

Common terms and phrases

Popular passages

Page 35 - ... forges, usines, ateliers, arsenaux, etc., peuvent être regardés comme faisant partie de l'armée, comme composant l'armée occupée à la fabrication des armes ; qu'en conséquence, ils doivent à la république tout le temps dont leurs forces leur permettent de disposer, et qu'il serait honteux qu'ils observassent...
Page 35 - ... dimanches, lorsque leurs frères d'armes, en face de l'ennemi, versent tous les jours indistinctement leur sang pour la défense de la République...
Page 8 - Actes est une publication officielle, faite « par les soins du ministre de l'instruction publique » dans la « Collection des documents inédits sur l'histoire de France ». Quant aux recueils concernant Paris, ila sont subventionnés par la Ville de Paris et payés à.
Page 34 - ... d'armes, mais ces marchés ne pourront avoir d'effet qu'autant qu'ils seront approuvés par les commissaires du bureau de la comptabilité. k° Ces commissaires pourront assister aux assemblées générales des trois administrations et y délibérer. 5° Pour ce qui concerne la manufacture de Paris, chaque administration sera chargée de payer tous les ouvrages dépendants de son administration, les appointements de ses employés, les régisseurs des magasins, et toutes les marchandises dépendant...
Page 35 - ... manufacture d'urines établie à Paris par décret du aa août dernier (vieux style), et désirant faire en sorte que ce retard n'apporte aucun ralentissement à la confection des armes à Paris et à l'armement des défenseurs de la République, arrête ce qui suit : La forge du Moulin-Galant, près Essonnes, sera mise en réquisition pour le service de la fabrication des fusils de Paris, et les martinets qui y sont seront uniquement employés à forger des lames à canons pour les établissements,...
Page 45 - A partir du présent volume, qui a pour objet la période comprise entre le 1er avril 1793 et le 5 mai suivant, c'est-à-dire la création et les débuts du Comité de salut public, nous sommes obligé de nous restreindre un peu. La correspondance des représentants en mission avec le pouvoir central devient si fréquente et si abondante qu'il est impossible de songer à l'imprimer textuellement tout entière, et cependant il faut offrir aux lecteurs de ce Recueil l'ensemble de cette correspondance.
Page 23 - Le présent volume, composé d'après la même méthode que les précédents, ne nécessite pas d'autre explication préalable. Notons cependant que, quand l'indication de la source d'un arrêté du Comité de salut public est suivie de ces mots : Non enregistré, cela veut dire que cet arrêté ne figure pas au registre, et que nous en empruntons le' texte, soit à une minute sur feuille volante, soit à une expédition officielle.
Page 67 - Vous avez préféré citer un à un les arrêtés omis, en alléguant le chaos des archives, — or il s'agit de registres ; — le mauvais vouloir des archivistes, — or vous travaillez par faveur spéciale dans un cabinet réservé, sans surveillance ni contrôle, et vous êtes président de la Commission supérieure des Archives.
Page 38 - ... francs (ce ne serait pas cher). — On dit, d'ailleurs, livres en 1794. Ibid., p. 599. n° 11. — La commission des transports s'assurera du nombre nécessaire de chevaux d'artillerie, dont le maximum est fixé, à 1200 livres, — et non chevaux (ce serait insuffisant).
Page 28 - Ici, nous ne prétendons pas donner la liste des erreurs. Toute la publication de M. Aulard étant à refaire, on ne saurait, sur le chapitre des inexactitudes, des fausses lectures, des bévues et coquilles, viser à être complet.

Bibliographic information