 Vous eussiez dit, si cette extase vous eût été donnée, qu'un ange envoyé vers vous du sein de Dieu se chargeait de vous initier aux épreuves sacrées de la vie humaine. Moi, je rêvai TOUT SIMPLEMENT d'un homme aux cheveux noirs qui se penchait...  Lélia - Page 175by George Sand - 1869Full view - About this book
 | George Sand - French fiction - 1845 - 386 pages
...inouï, me révéla le mystère jusquelà impénétrable et jusque-là tranquillement respecté. 0 ma sœur, niez l'influence du ciel ! niez la sainteté...mains tendues vers le ciel. Je vous regardai alors. 0 ma sœur, que vous étiez belle ! Je ne vous avais jamais trouvée telle avant ce jour-là. Dans... | |
 | Pierre-Joseph Proudhon - Anarchism - 1858 - 650 pages
...inouï, me révéla le mystère jusque-là impénétrable, et jusque-là tranquillement respecté. 0 ma sœur! niez l'influence du ciel, niez la sainteté...mains tendues vers le ciel. Je vous regardai alors. 0 ma sœur, que vous étiez belle ! Je ne vous avais jamais trouvée belle avant ce jour-là. Dans... | |
 | Pierre-Joseph Proudhon - Anarchists - 1869 - 380 pages
...penchait vers moi pour effleurer mes lèvres de ses lèvres chaudes et vermeilles; et je m'é\eillai oppressée, palpitante, heureuse plus que je ne m'étais...mains tendues vers le ciel. Je vous regardai alors. 0 ma sœur, que vous étiez belle ! Je ne vous avais jamais trouvée belle avant ce jour-là. Dans... | |
 | Pierre-Joseph Proudhon - Anarchism - 1869 - 378 pages
...penchait vers moi pour effleurer mes lèvres de ses lèvres chaudes et vermeilles; et je m'é\eillai oppressée, palpitante, heureuse plus que je ne m'étais...mains tendues vers le ciel. Je vous regardai alors. 0 ma sœur, que vous étiez belle ! Je ne vous avais jamais trouvée belle avant ce jour-là. Dans... | |
 | Pierre-Joseph Proudhon - Love - 1876 - 270 pages
...m'inspirait un amour insensé... Ce jour-là, un rêve étrange, délirant, inouï, me révéla le mystère jusque-là impénétrable, et jusque-là...cèdres élevaient avec splendeur leurs grands rameaux digilés, semblables à des bras immenses, et à de longues mains tendues vers le ciel. Je vous regardai... | |
| |
