La Lydie et le monde grec au temps des Mermnades (687-546)

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Thorin, 1893 - Greece - 325 pages
 

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Popular passages

Page 58 - Extraits d'un mémoire sur les attaques dirigées contre l'Egypte par les peuples de la Méditerranée, vers le xiv* siècle avant notre ère.
Page 64 - Annales des rois d'Assyrie, traduites et mises en ordre sur le texte assyrien. Paris, 18"i, in-8 jésns.
Page 48 - Milésiens, les seuls avec qui Cyrus fit un traité aux mêmes conditions que celles qui leur avaient été accordées par Crésus. Dans ce conseil, il fut unanimement résolu d'envoyer demander du secours à Sparte.
Page 48 - En effet, les pays qui environnent l'Ionie, soit au-dessus, soit au-dessous, à l'est ou à l'ouest, ne peuvent entrer en comparaison avec elle, les uns étant exposés aux pluies et aux froids, les autres aux chaleurs et à la sécheresse.
Page 181 - J'ai, dit-il luimême dans une inscription, reconstruit les rues anciennes, j'ai élargi les rues étroites, et j'ai fait de la. ville entière une cité resplendissante comme le soleil.
Page 260 - Démêter grecque, mais plutôt du sol dans son état rocailleux et abrupt primitif: voilà pourquoi les pierres, les montagnes couvertes de forêts lui étaient consacrées et passaient même pour ses images. A...
Page 163 - Ce serait, dit Pollux, un beau sujet d'étude que de rechercher si la monnaie a été inventée par Phidon d'Argos; ou par Démodice, fille du roi de Cymé, Agamemnon, et femme du roi de Phrygie, Midas; ou par les Athéniens, Erichthonios et Lycos ; ou par les Lydiens, comme le raconte Xénophane ; ou par les Naxiens, ainsi que le pense...
Page 101 - ... prêts, que ni la neige , ni la pluie, ni la chaleur, ni la nuit, n'empêchent de fournir leur carrière avec toute la célérité possible. Le...
Page 219 - On voit quel immense empire se dressait au delà de l'Halys pour arrêter l'élan de Cyrus et des forces toutes jeunes des Perses et des Mèdes. Crésus ne pouvait voir que d'un très mauvais œil un barbare venir de l'Élam en Médie renverser le trône de son beau-frère Astyage.
Page 272 - C'est une possession multiple et merveilleuse, délicieuse et cruelle, qui prend tout, l'âme et le corps, la nature physique et la pensée, contre laquelle il n'ya ni résistance ni refuge possible, ni dans les éléments, ni dans la matière, ni dans le monde mystérieux de l'intelligence. L'être humain, brisant les liens de la civilisation, est rappelé dans le sein de la nature sauvage, qui le confond avec ses autres enfants sous l'influence étrange...

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