Mémoires, avec un comm. historique par A.-L.-P. de Robaulx de Soumoy1858 |
Common terms and phrases
adverty Anchin Arch archers de corps armée arriva artillerie assieger audit avoient avoit bandes d'ordonnances Barberousse bataille Bellay Brantôme Bugnicourt Cambry camp CHAPITRE charge Charles de Lannoy Charles-Quint chasteau chemin chevaux legers commandait compaignie comte d'Egmont d'Espaigne deffaite dix mil Doria duc de Bourbon duc de Clèves duché de Milan dudit escadrons Espagnols Espaigne estant esté estoient estoit faisoit Ferdinand de Gonzague Fery de Guyon firent François Ier gaigner garnison general gens de pieds Gollut Goulette gouverneur Hesdin incontinent Italie Italiens j'ay Jean jours apres jusques l'armée impériale l'Empereur ladite Lautrect ledit prince ledit sieur lesdits lieuës lieutenant logé Majesté Marchiennes Mariembourg marquis del Guasto mesme mil hommes Milan mois mondit seigneur mondit sieur monsieur de Bugnicourt montaigne Naples neantmoins nommé ordonné pape Papiers d'État passa pays Pays-Bas Philippe prince d'Orange prins prinse print r'assembler Rabutin riviere s'estoit sejourna siége soldats Toison d'or Trolliere vindrent vint
Popular passages
Page 17 - estoient dedans le parcq; car ils sortirent la plus grande partie sur les ennemis, là où ils firent grand dommage, comme ne sçachant, les François, de quel costé se garder et furent la plus part tuez ou prisonniers. « luy mirent les espées à la gorge, le menaçant de le tuer, s'il ne
Page 137 - un seul homme de pied ny de chevaux, sinon fort peu. 1 « Le lieu du grand massacre et plus furieuse tuerie fut, « comme chacun le tesmoigne, entre le grand Essigny et une « maison de gentilhomme appelléeRizerolles et un grand chemin « appellé Blanc-Fossé, où chacun tiroit pour se sauver et là « estoient attendus pour y payer le dernier
Page 125 - fut ensuite relâché, puisque Pontus Heuterus affirme l'avoir vu , en 1560, à Paris, traînant, dans la misère et le mépris des honnêtes gens, une honteuse existence, abrégée bientôt après par les remords et la faim. Arch. du royaume Lettres des seigneurs, t. xn, p. 145.
Page 115 - Le sieur du Reux,... avec un nombre de flamens, hennuyers « et walons, montant à 40 enseignes de gens de pied et environ « deux ou trois mille chevaux, s'estant mis en campagne... apres » avoir bruslé les villes de Noyons, Nelle, Chaulnys, Roye et une « magnifique maison que le feu roy François avoit fait édifier « pour le plaisir de la chasse, nommée Foulembray, et de sept à
Page 114 - Le Roy fut contraint de rompre son camp, dès la fin du « mois de juillet (1552), tant pour les grandes maladies qui y « survenoient, que pour l'abondance des
Page 29 - Saint-Ange, jusqu'à l'entier payement de cette somme. Il s'engageait à livrer aux troupes impériales les villes de Parme, Plaisance et Modène et à recevoir garnison dans les châteaux d'Ostie, de Civita-Castellana, Saint-Ange
Page xxiii - J'ay autrefois promis de donner au publique, les Memoires qu'a 1 Philippe, comte d'Egmont, prince de Gavre, chevalier de la Toison d'or, « chef et général des bandes des ordonnances « d'hommes d'armes » (arch. de l'audience, liasse 1160), était fils unique de Louis, comte d'Egmont, chevalier de la Toison d'or, et de Marguerite de Berlaymont, et petit-fils de Charles, comte d'Egmont, prince de Gavre, chevalier de la Toison d'or, et
Page 21 - Jean de Poitiers et plusieurs autres. Gollut, p. 1597. Sucre y fut prins. Le capitaine Loquingan, le capitaine Escalingue, le capitaine Gouve, et autres plusieurs bons soldats de pied et de cheval soustindrent la charge que leur fut donnée par les Plaisantins, entre lesquels estoit le sieur Polusas,
Page 160 - cheval, ou chevau-légers, avaient été levés, par Noircarmes, en Franche-Comté; « la relation de « l'expédition du prince d'Orange, dans les Pays-Bas, en 1568, » écrite par le conseiller d'État Courtewille, qui