Collection des Chroniques Nationales Françaises écrites en Langue vulgaire du treizième au seizième siécles avec des Notes et Eclaircissemens, Volume 14, Part 4 |
Common terms and phrases
Adonc ainçois avant Albret Anglois appertises avecques avoient avoit bannière barons bataille bâtard Bertran du Guesclin bons chevaliers Bretagne Calais captal de Buch Castille CHAP CHAPITRE Charles de Blois châtel chevaliers et écuyers chevauchèrent chose Chypre cité combattre compagnies comte de Montfort conseil d'Angleterre d'Arragon Dam Piètre de-lez devers devoient duc de Bourgogne duc de Lancastre duc de Normandie envoya étoient étoit eurent faisoit firent forteresses François frère Froissart Gascons gens d'armes gneur Henry hoirs Jean de Montfort jour jusques l'ost armée Labreth Albret logis manda ment messire Bertran messire Charles messire Hue messire Jean Chandos messire Thomas monseigneur Charles monseigneur Jean monsire moult Navarre Navarrois Olivier de Mauny ordonnance ost armée paix pape passer pays pennon pouvoient pouvoit prince de Galles rent retourner Rheims route troupe royaume Rymer s'appeloit s'en vint Saint seigneurs sire de Labreth tantôt tenoient tenoit terre ubi sup volonté vouloient vouloit
Popular passages
Page 119 - Dieu qu'il ne les voulut mie quitter de leur foi, ni éloigner de son domaine, ni mettre en mains étranges, et qu'ils avoient plus cher à être taillés tous les ans de la moitié de leur chevance que ce qu'ils fussent ès mains des Anglois. Sachez que le roi de France, qui véoit (voyoit) leur bonne volonté et loyauté et oyoit moult souvent leurs excusations, en avoit grand...
Page 194 - Faucon, est-ce à bonne vérité que tu dis que ces chevaliers de Gascogne que tu nommes sont là, et les gens le seigneur de Labreth (Albret)?
Page 210 - Je vous ordonne et commande, sur quanque (tout ce que) vous vous pouvez méfaire envers moi, que vous demeurez et attendez fin de journée ; je me pars sans retourner; car je ne me puis huy combattre ni être armé contre aucun des chevaliers qui sont par delà; et si on vous demande de moi, si en répondez ainsi à ceux qui en parleront.
Page 273 - JL/E comte de Montfort, si comme il est ci-dessus dit, tint et mit le siége devant Auray , et dit qu'il ne s'en partiroit si l'auroit à sa volonté. Ceux du châtel n'étoient mie bien aises, car ils avoient perdu leur capitaine Henry de Hauternelle qui étoit demeuré à la besogne, et toute la fleur de leurs compagnons ; et ne...
Page 62 - Calais, nous tiendrons en demaine, excepté les héritages des églises qui demeureront aux dites églises entièrement quelque part qu'ils soient assis; et aussi excepté les héritages des autres gens des pays de Merk et de Calais assis -hors de la ville et fermeté de Calais jusques à la value de cent livres de terre par an, de la monnoye...
Page 42 - D'AUBRECICOURT. AINSI tournoyant tout le pays cheminoit le roi d'Angleterre et ses gens qui détruisoient tout devant eux ; et d'autre part, les garnisons qui se tenoient et faisoient guerre pour lui en Beauvoisis , en Picardie , en France, en Brie, et en Champagne guerroy oient et gâtoient tout le pays. D'autre côté le roi de Navarre qui se tenoit en la marche de Normandie faisoit aussi moult forte guerre. Ainsi étoit guerroyé le noble royaume de France de toutes parts que on ne savoit auquel...
Page 209 - Donc s'espardirent (dissipèrent) ces batailles, ces chevaliers et ces écuyers sur ces plains (plaines) , et commencèrent à lancer, à férir et à frapper de toutes armures, ainsi que ils les avoient à main, et à entrer l'un en l'autre par vasselage (bravoure), et eux combattre de grand
Page 131 - Nous avons vues les compagnies rangées et ordonnées sur un tertre et bien avisées à notre loyal pouvoir; mais tout considéré, ils ne sont pas plus de cinq ou six mille hommes là environ , et encore sont-ils mal armés.
Page 184 - Breton s par ces hôtels ; si pillèrent et robèrent tout ce qu'ils trouvèrent, et prirent des bourgeois desquels qu'ils voulurent pour leurs prisonniers, et en tuèrent aussi assez. Et...
Page 58 - GUERRE AU ROI D'ANGLETERRE ET AU PRINCE DE GALLES^ . par la grâce de Dieu roi d'Angleterre, seigneur d'Irlande et d'Aquitaine , à tous ceux qui ces présentes lettres verront, salut.