Histoire de l'Académie royale des inscriptions et belles lettres,: depuis son establissement jusqu'à present. Avec les Mémoires de littérature tirez des registres de cette Académie, depuis son renouvellement jusqu'en M. DCCX.[-M.DCCXCIII.].De l'Imprimerie royale., 1723 - Learned institutions and societies |
Contents
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Common terms and phrases
affeure affez ainfi anciens aprés auffi aujourd'huy avoient avoit Bactriane c'eft c'eftoit c'eſt c'eſt-à-dire caufe celuy chofe Cicéron Clotaire cofté confervé confidérable d'eftre d'Yvetot Déeffe derniére Dieu Dieux efpéce eftablit eftat efté eftoient eftoit eftre eſt eſté facré faifoient faifoit faint fans fçait feconde fefte felon femble fens fentiment feroit fervir feulement fiécle fimple foin foit font fous fouvent fuft fuite fuivant fujet gouft grace Grecs hiftoriens hommes j'ay Jéroboam Jofephe Juba jufqu'à l'eftat l'ufage laiffé loix lorfque luy-mefme maiſon maniére mefme meſme n'avoit n'eft n'eftoient n'eſt noftre obfervé paffage paffer parle paroift particuliére perfonne peuple peut-eftre philofophes Pindare Plato Pline plufieurs Plutarque poëte pouvoit premiére prés Prince quæ quod quoy raifon refte Rofcius Romains s'eft Servius Tullius ſes Socrate tefte temple Théocrite Tite-Live toûjours trés Tribus troifiéme ufage Vefta Veftales verfet Veſta Veſtales vray Xénophon δὲ καὶ τὸ
Popular passages
Page 706 - Aucun soin n'approchait de leur paisible cour; On reposait la nuit, on dormait tout le jour. Seulement au printemps, quand Flore dans les plaines Faisait taire des vents les bruyantes haleines, Quatre bœufs attelés, d'un pas tranquille et lent, Promenaient dans Paris le monarque indolent.
Page 133 - Dramatique eut toutes fes parties, la néceffité où fe trouverent les acteurs de repréfenter des perfonnages de différent genre, de différent âge , & de différent fexe , les obligea de chercher quelque moyen de changer tout d'un coup de forme & de figure; & ce fut alors qu'ils imaginerent les Mafques dont nous parlons.
Page 307 - La stérilité passait alors pour une espèce d'infamie dans les deux sexes, et pour une marque non équivoque de la malédiction de Dieu; au contraire, on regardait comme un témoignage authentique de sa bénédiction d'avoir autour de sa table un grand nombre d'enfants. Le célibat était une espèce de péché contre nature; aujourd'hui, ce n'est plus la même chose.
Page 268 - Bellone , dieux domeftiques, dieux nou» vellement reçus, dieux du pays; dieux qui difpofez de nous &: de nos
Page 263 - Les deux Décius père & fils , ne fe font pas rendus moins célèbres en fe dévouant dans une occafion bien plus importante, pour le falut des armées qu'ils commandoient, l'un dans la guerre contre les Latins, l'autre dans celle des Gaulois & des Samnites , tous deux de la même manière , 6c avec un pareil fuccès. Tite-Live ; liv. VIII. & X. chap. ix. Cicerón qui convient de ces deux faits, quoiqu'il les place dans des guerres différente...
Page 88 - ... fi bien fe prévaloir du befoin que les Romains avoient alors de leur fecours, qu'on fut peu de temps après obligé de fupprimer ces nouvelles Tribus, & d'en diftribuer tous les citoyens dans les anciennes , où ils donnèrent toujours de^ puis leurs fuffrages, L.
Page 208 - Cette fofle formoit une efpéce de caveau ou de chambre creufée aflez avant dans la terre : on y mettoit du pain , de l'eau , du lait & de l'huile ; on y allumoit une lampe ; on y dreflbit une efpéce de lit au fond.
Page 121 - Là rondeur de cette bafe ne permettoit pas à la Lyre de fe tenir droite comme la Cithare, & il falloit , pour en jouer, la ferrer avec les genoux.
Page 122 - Ôc dont le manche feroit fort court 5 & il ya grande apparence que ce dernier inftrument lui doit fon origine. En couvrant d'une table la bafe ou le ventre de la lyre , on en a formé le corps du luth , & en joignant par un ais les deux bras ou les deux côtés de la première , on en a fait le manche du fécond. La lyre a fort varié pour le nombre des cordts. Celle d'Olympe & de Terpandre n'en avoit que trois dont ces Muficiens favoient diveriîfier les fons avec rant d'art que...
Page 93 - Non feulement c'étoit à lui à décider de !a paix ou de la guerre , mais il étoit encore maître de recevoir ou de rejetter les Loix qu'on lui propofoit , &. il avoit même la liberté de choifir tous ceux .qui dévoient avoir fous lui quelque autorité. Car comme il n'y avoit point alors d'autres Comices que ceux des Curies , dans lefquels tous les citoyens avoient également voix délibérative , & que le nombre des Plébéiens dans chaque Curie l'emportoit de beaucoup fur celui des Patriciens...