Avec sa grande taille, la blancheur flamboyante de sa chasuble lamée d'or, que le soleil, tombant par une des fenêtres du chœur, sembla tout à coup embraser, il ne paraissait plus un homme, mais la colonne de flammes qui marchait en avant d'Israël... J. Barbey d'Aurevilly: impressions et souvenirs - Page 393by Charles Buet - 1891 - 468 pagesFull view - About this book
| 1852 - 290 pages
...soleil, tombant par une des fenêtres du chœur, sembla tout à coup embraser, il ne paraissait plus un homme, mais la colonne de flammes qui marchait en avant d'Israël et qui le guidait au désert. La vieille comtesse de Montsurvcnt parlait encore de ce moment- là, du fond de ses cent ans, comme... | |
| Jules Barbey d'Aurevilly - Chouans - 1859 - 582 pages
...soleil, tombant par une dos fenêtres du chœur, sembla tout à coup embraser, il ne paraissait plus un homme, mais la colonne de flammes qui marchait en avant d'Israël et qui le guidait au désert. La vieille comtesse de Montsurvent parlait encore de ce moment-là, du fond de ses cent ans, comme... | |
| Charles Buet - French literature - 1885 - 368 pages
...le soleil, tombant par une fenêtre du chœur, semble tout à coup embraser, il ne paraissait plus un homme, mais la colonne de flammes qui marchait...fiction de ce livre: d'un côté, un prêtre chaste, pur, austère, repentant, pénitent ; de l'autre, une femme qui, mésalliée, n'aimant pas son mari,... | |
| |