 | Marie Joseph P.Y.R. Gilbert du Motier Lafayette (marq. de.) - 1837 - 530 pages
...ce que le cours des ans, une étroite union et votre mérite m'ont inspiré d'affection, de respect, d'attachement pour vous. Pendant que nos voitures...dire non, mes craintes répondaient oui. Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeunesse, je trouvais qu'il y avait bien long-temps qu'ils avaient... | |
 | Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Du Motier marquis de Lafayette - 1837 - 528 pages
...ce que le cours des ans, une étroite union et votre mérite m'ont inspiré d'affection, de respect, d'attachement pour vous. Pendant que nos voitures...dire non, mes craintes répondaient oui. Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeunesse, je trouvais qu'il y avait bien long-temps qu'ils avaient... | |
 | Jared Sparks - 1851 - 474 pages
...d'affection, deconsidération, d'attachement pour vous.Pendantque nos voituress'éloignaient l'une de l'antre, je me demandais souvent si c'était pour la dernière...de ma jeunesse, et je trouvais que depuis longtemps il s avaient fui pour ne plus revenir, que je descendais à présent la colline que j'ai gravie pendant... | |
 | Saint-Marc Girardin - 1853 - 434 pages
...s'éloignaient l'une de l'autre lui écrit-il, « je me demandais souvent si c'était pour la der« nière fois que je vous avais vu, et, malgré mon « désir...non, mes craintes répondaient oui. « Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeu« nesse; je trouvais qu'il y avait bien longtemps « qu'ils avaient... | |
 | Revue nationale et étrangère - 1867
...Lafayette et Washington qui, de retour à Mount-Vernon, adresse une lettre touchante à son jeune ami : « Pendant que nos voitures s'éloignaient l'une de l'autre,...non , mes craintes répondaient oui. Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeunesse, je trouvais qu'il y avait bien longtemps qu'ils avaient fui... | |
 | 1867 - 818 pages
...Lafayette et Washington qui, de retour à Mount-Vernon, adresse une lettre touchante à son jeune ami : «; Pendant que nos voitures s'éloignaient l'une de l'autre,...non, mes craintes répondaient oui'. Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeunesse, je trouvais qu'il y avait bien longtemps qu'ils avaient fui... | |
 | 1891 - 976 pages
...passage, une frégate de quarante canons, et Washington lui faisait ses adieux en ces termes (1) : « Pendant que nos voitures s'éloignaient l'une de l'autre,...dernière fois que je vous avais vu; et, malgré mon (I) Voir Correspondance de La Fayette, t. H; lettre du 8 décembre 1784. désir de dire non, mes craintes... | |
 | Jean Jules Jusserand - 1920 - 398 pages
...union et vos mérites m'ont inspirés. Je me demandais souvent, tandis que nos voitures s'éloignaient si c'était pour la dernière fois que je vous avais...rappelais à mon esprit les jours de ma jeunesse et constatais qu'ils avaient fui depuis longtemps pour ne plus revenir, que je descendais maintenant la... | |
 | 1891 - 1002 pages
...passage, une frégate de quarante canons, et Washington lui faisait ses adieux en ces termes (1) : « Pendant que nos voitures s'éloignaient l'une de l'autre,...dire non, mes craintes répondaient oui. Je rappelais dans mon esprit les jours de ma jeunesse, je trouvais qu'il y avait bien longtemps qu'ils avaient fui... | |
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