Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1866 - France |
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âme anglais Arabes arrive assez avaient Barberine barreau Biskra budget c'était chambre Charles-Quint chose chrétien Clément VII cloche cœur colonnes comte Russell confédérés côté coup devant Dieu dire Djurdjura donner duc de Bourbon Égypte Égyptiens Émile Augier enfans états États-Unis Faust femme force forme Francesco Sforza François Ier Frank Churchill Gardelux gens Goethe gouvernement Grecs guerre Guillaume du Bellay Holdsworth hommes idées impériaux jamais Jérôme jeune jour Juifs jusqu'à Kabyles Katkof l'amortissement l'Angleterre l'église l'empereur l'esprit l'homme laisser lansquenets lettre liberté Linyanti Livingstone lord lui-même main Matthew Arnold ment millions ministre monde mort n'avait n'était pape parler passer pays Pélage pensée peuple phares Phillis philosophie pieds plongeur poète politique Pompéi porte pouvait premier président presque qu'une question raison reste rien romaine Rome Russie s'était s'il saint semble sentiment serait seul siècle Simnel société sorte tête tion troupes trouve Turcs voilà vrai Whitstable yeux Zambèse
Popular passages
Page 471 - Or je vons dis, que désormais je ne boirai point de ce fruit de la vigne, jusqu'à ce jour auquel je le boirai nouveau avec vous dans le Royaume de mon Père.
Page 479 - Mais quand je vis qu'ils ne marchaient pas droit selon la vérité de l'évangile, je dis à Céphas devant tout le monde : Si vous , qui êtes Juif, vivez comme les gentils, et non pas comme les. Juifs, pourquoi contraignez-vous les gentils de judaïser ? 15.
Page 269 - Je vous avoue qu'au sortir de là si j'avais su où vous trouver, j'aurais été vous chercher; il faisait le plus beau temps du monde, la lune était belle, et mon jardin semblait vous demander. Mais, comme dit Polyeucte, que sert de parler de ces matières à des cœurs que dieu n'a pas touchés*?
Page 513 - Dion que cettui-ci, qui est inévitable : c'est qu'il a le sentiment si malade aux affaires romaines qu'il ose soutenir la cause de Jules César contre Pompée, et d'Antoine contre Cicéron.
Page 524 - En encombrant, sur des charrettes destinées pour l'exécution du supplice, des hommes, des femmes, des jeunes gens, des vieillards, des sourds, des aveugles, des malades et des infirmes ; « En faisant préparer des charrettes dès le matin et longtemps avant la traduction des accusés à l'audience...
Page 832 - ... et sa dentelle de statues. — On aurait passé un an comme un fumeur d'opium, et ce serait tant mieux : le seul moyen efficace de supporter la vie, c'est d'oublier la vie.
Page 243 - La Constitution reconnaît, confirme et garantit les grands principes proclamés en 1789, et qui sont la base du droit public des Français.
Page 273 - ... j'ai de la peine à croire que cet état ne m'annonce une fin prochaine. Je n'ai pas la force d'en être effrayée, et ne vous devant revoir de ma vie, je n'ai rien à regretter.
Page 394 - Gomment moi, pour qui la civilisation et la barbarie sont des choses d'importance, comment aurais-je pu haïr une nation qui est une des plus civilisées de la terre et à qui je dois une si grande part de mon propre développement? La haine nationale est une haine particulière. C'est toujours dans les régions inférieures...
Page 415 - Le poème devient ainsi une grande allégorie, le drame de l'activité humaine, divinisée par la grandeur du but qu'elle poursuit et de la force qu'elle déploie. Agir, telle va être désormais la destination de Faust régénéré; il y trouvera les joies les plus nobles qui soient permises à un mortel, la félicité grave de se sentir utile, le bonheur d'améliorer autour de soi les conditions du sol ou celles de la société, la nature physique et le sort des hommes, ou même, ce qui est plus...