Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore! Nous deux, presque sans armes, contre eux douze... Oeuvres precedees d'une preface - Page 130by Paul-Louis Courier - 1892Full view - About this book
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant....du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...plus rien. Que vous dirai -je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant....encore! ... Nous deux, presque sans armes, contre eux dou/.e ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant....contre eux douze ou quinze qui en avaient tant. Et n:on camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...bre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais B mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense en» core!.... Nous deux presque sans armes, » contre eux douze...sommeil et » de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre n'était guère haute , mais en bas... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1845 - 482 pages
...marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu 1 quand j'y pense encore I._. Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou...tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue 1 L'appeler, faire du bruit , je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était... | |
| Paul-Louis Courier - 1851 - 624 pages
...plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mou corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant....presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui eu avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais;... | |
| Charles Jean Delille - French literature - 1855 - 612 pages
...mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel ! quand j'y pense encore ! ... Nous deux presque sans...de fatigue! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'ochapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute,, mais en bus deux gros dogues... | |
| Charles Bigot - 1858 - 340 pages
...plus rien. Que vous dirai-je? Je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encorel... Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient tant I et mon camarade... | |
| Paul-Louis Courier - 1861 - 476 pages
...plus rien. Que "vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant....tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue I L'appeler, faire du bruit , je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était... | |
| Paul-Louis Courier - 1861 - 478 pages
...mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu I quand j'y pense encore !.... Nous deux presque sans...armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient tant I Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit , je n'osais; m'échapper... | |
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