 ... la plus belle langue du monde, la plus claire, la plus solide, qu'il fallait la garder entre nous et ne jamais l'oublier, parce que quand un peuple tombe esclave, tant qu'il tient bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison.  Œuvres de Alphonse Daudet ... - Page 6by Alphonse Daudet - 1883Full view - About this book
 | William Henry Fraser, John Squair - French language - 1901 - 566 pages
...bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison. Puis il prit une grammaire et nous 35 lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il me disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté et que... | |
 | William Henry Fraser, John Squair - French language - 1901 - 574 pages
...bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison. Puis il prit une grammaire et nous 36 lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il me disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté et que... | |
 | William Henry Fraser, John Squair - French language - 1901 - 574 pages
...bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison. Puis il prit une grammaire et nous 36 lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il me disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté et que... | |
 | Hugo Hultenberg - Romance languages - 1903 - 164 pages
...germaniques ne sauraient renforcer l'adjectif correspondant par la simple répétition. franc. mod.: J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile! (DAUDET, Contes du lundi: La dernière classe). Oh! mon Dieu! mon Dieu! C'est un grand, grand malheur!... | |
 | Hugo Hultenberg - Romance languages - 1903 - 156 pages
...germaniques ne sauraient renforcer l'adjectif correspondant par la simple répétition. franc. mod. : J'étais étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile, facile! (DAUDET, Contes du lundi: La dernière classe). Oh! mon Dieu! mon Dieu! C'est un grand, grand malheur!... | |
 | John Ernst Matzke - French language - 1905 - 124 pages
...peuple tombe esclave, tant qu'il tient bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa prison. Puis il prit une grammaire et nous lut notre leçon....jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de patience à ses explications. On aurait dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme... | |
 | Othon Goepp Guerlac - French language - 1905 - 234 pages
...phrase of the great Provençal poet Frédéric Mistral : " S'il tient sa langue, il tient la clé qui lut notre leçon. J'étais étonné de voir comme...jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant de patience à ses explications. On aurait dit 5 qu'avant de s'en aller le pauvre... | |
 | William Henry Fraser, John Squair - French language - 1906 - 570 pages
...J'étais étonné de voir comme je comprenais, ce qu'il me disait me semblait facile, facile. Je crois que je n'avais jamais si bien écouté et que lui non plus it jamais mis autant de patience à ses explications. On t dit qu'avant de s'en aller le pauvre homme... | |
 | Hugo Paul Thieme, John Robert Effinger - French language - 1908 - 440 pages
...esclave, tant qu'il tient bien sa langue, c'est comme s'il tenait la clef de sa 1 de plus, more. prison. Puis il prit une grammaire et nous lut notre leçon....étonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il me disait me semblait facile, facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté et que... | |
 | 1908 - 650 pages
...Translate into English : — Puis il prit une grammaire et nous lut notre leçon. J'étais ('•tonné de voir comme je comprenais. Tout ce qu'il disait me semblait facile. Je crois aussi que je n'avais jamais si bien écouté, et que lui non plus n'avait jamais mis autant... | |
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